Pandémies, désastres écologiques,… comment rebâtir la société ?

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Le point de non-retour approche-t-il vraiment ?

Il est probable que de multiples vaccins injectés à répétition conduisent à la longue à un travail de sape continu de notre système immunitaire et de notre énergie vitale. Ces faiblesses nous rendraient alors plus vulnérables et donc dépendants du système médico-pharmaceutique, ce qui n’est pas sans conséquences sur nos libertés individuelles. Acceptez-vous que les enfants de la période Covid-19, et d’autres maladies infectieuses qui suivront certainement, subissent cela tout au long de leur vie ?

Je conçois qu’un vaccin peut protéger de formes graves les personnes âgées de même pour les personnes ayant des comorbidités avérées même si on peut durant toute sa vie stimuler son système immunitaire. Je conçois aussi qu’à un âge avancé, sans donner l’impression que la finitude fasse insulte à la condition humaine, on pourrait se dire : j’ai rempli ma mission sur la terre et j’ai lutté pour la prolongation de ma vie, alors maintenant, c’est à la grâce de Dieu. Ne dit-on pas que grandir c’est apprendre à mourir ? Des psychanalystes disent que les gens ne testent pas leur esprit tant qu’ils ne sont pas confrontés à l’adversité. Par expérience, je confirme qu’en passant par les épreuves ou en sortant volontairement de sa zone de confort ; en prenant son risque pour changer de parcours de vie pour une cause altruiste, ces épreuves et changements importants impliquent l’abandon à quelque chose de plus grand que soi.

Lorsque l’âme unitaire ou l’esprit unitaire transcende les barrières de la limitation, et dans le processus devient infini, il ne reste aucun esclavage de la finitude. C’est l’état de libération. Notre existence devient une avec la conscience suprême.

Shrii Shrii Anandamurti – 1979

C’est le courant de l’évolution. Quand dans le flux de la Vie et de l’Amour on a le cœur d’apprendre, alors on enrichit son âme pour l’accomplissement de sa mission terrestre. Ce flux dynamique entraîne aussi l’élévation de son bien-être quotidien. Il est de notre devoir d’alerter les jeunes générations, celles et ceux plutôt léthargiques, pour qu’ils réagissent plus vigoureusement, pour qu’ils soient créatifs pour eux-mêmes et généreux pour la famille humaine en souffrance. Alors même qu’une personne sur dix sur la planète va basculer sous le seuil de la grande pauvreté, ne soyons pas dans le fanatisme du matérialisme présent et du court terme car, dans les jours d’après crises, nos enfants et petits-enfants qui vont nous juger ne comprendront pas nos choix d’abîmer leur héritage.

Autre facteur de morts circonstancielles, les catastrophes météorologiques qui surviennent de plus en plus souvent ici et là sur tous les continents. Les faits se reproduisent de plus en plus souvent  : cyclones, ouragans, orages et pluies diluviennes provoquant des inondations dévastatrices, dôme de chaleur dans les régions tempérées, sécheresse et incendies gigantesques, même en Sibérie région pourtant la plus froide… Les représentants du GIEC disent que nous sommes témoins des catastrophes en 2021 de ce qui peut nous arriver d’encore plus grave si chacun de nous continuons à faire trop peu d’effort pour reconsidérer nos habitudes néfastes concernant l’écologie de la planète.

Des morts aussi dus aux pollutions de l’eau et de l’air chargés de particules toxiques comme les micro plastiques que l’on retrouve dans la chair des poissons que l’on mange. Même si les nantis ne se sentent pas vulnérables, gardons à l’esprit qu’en fait la planète suffoque et le système climatique s’emballe. L’astronaute français Thomas Pesquet nous le rappelle :

« Même si on est loin depuis la Station spatiale internationale, les phénomènes météo extrêmes sont effrayants : on sait que leur fréquence accrue et leur ampleur sont dues au réchauffement climatique et que des gens sont menacés au moment même où on les observe depuis l’orbite de la Terre« , a-t-il dit (publié le 5 août 2021).

De fait, d’énormes masses de glace sont en train de fondre plus vite que prévu, à tel point que notre globe terrestre pourrait voir ses pôles se déplacer ! C’est déjà le cas pour le pôle nord magnétique sur lequel les oiseaux migrateurs et les systèmes de pilotage automatique d’avion et de bateau se repèrent pour leur navigation, lesquels doivent être réajustés de plus en plus souvent. 

Ce phénomène généralisé d’autodestruction, n’a sa raison d’être que parce que le « Moi » de l’ego a pris le dessus sur ce qui nous transcende, ce qui donne un sens à notre vie.

« Si notre ego prend le dessus, c’est la peur qui deviendra notre maître avec l’acceptation de toutes les contraintes qui se mettent en place. Si ce même ego s’efface devant notre âme, c’est alors la confiance en soi, l’endurance et la Foi qui vont devenir nos armes adaptatives et d’autoguérison. Nous sortirons alors de cette crise beaucoup plus fort, et surtout nous aurons, par la mise en pratique d’un altruisme salvateur, développé cette force d’amour qui nous permet d’aider les gens dans la détresse ». (Jean Pelissier – Professeur en MTC)

Plus que jamais, nous devons avoir une lecture transversale des pandémies pour ce qui concerne la santé des humains, des animaux, des plantes et de la planète entière. Durant les confinements, partout dans le monde les émissions de gaz à effet de serre ont diminué. Cette pandémie de la covid-19 est peut-être une chance en quelque sorte, elle donne au monde un coup de pouce pour appliquer les lois sur le climat et le changement d’infrastructures qui sont absolument nécessaires. La pandémie de Covid-19 deviendra sans doute comme une grippe saisonnière, mais il n’existe aucun vaccin contre la crise du climat.

Ce changement, est-ce qu’on veut le subir ou le choisir ? Plus de 200 revues médicales alertent sur les effets catastrophiques de la crise climatique sur la santé humaine. Cette crise doit nous donner l’envie et l’énergie de changer par une coopération renforcée entre les nations. Les « experts » nous disent que le combat financier pour trouver et mettre en œuvre les technologies vertes pertinentes à chaque région du monde ne suffiront pas et qu’il ne faut pas accuser le ciel des difficultés sociales et économiques en lien avec les questions du développement des pays émergeants. Certes des intellectuels se mobilisent pour faire émerger une classe écologique consciente et fière d’elle-même mais que pouvons-nous faire sur le plan individuel dans notre vie quotidienne pour contribuer à limiter la hausse des températures ?

Ci-après je vous donne quelques faits, des réflexions et des pratiques pour vous permettre si besoin de communiquer avec votre entourage d’une manière équilibrée entre le réalisme, l’espoir en la science et la pression à exercer pour que les décideurs soient à la hauteur de leurs engagements et de leurs responsabilités face aux crises actuelles et à venir.

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