Nous sommes cocréateurs de notre propre réalité
Pour élargir votre champ de vision et votre compréhension considérons la vie des animaux dits sauvages qui se rapprochent des populations humaines, à la recherche de nourriture suite à la destruction de leur milieu naturel, et qui peuvent nous transmettre des maladies graves. La déforestation d’origine humaine visant à créer d’immenses surfaces pour la culture industrielle d’aliments destinés au bétail, porcs et volailles contribuent largement à cette destruction. Par ailleurs on a vu que les élevages intensifs concentrationnaires d’animaux pour l’alimentation des humains sont des nids à épidémies. De plus, ces élevages de bétail sont responsables à près de 20% (en 2021) des émissions de gaz à effet de serre, essentiellement en raison du méthane que ces animaux éructent en permanence. Notre consommation – excessive – de viande impacte donc directement l’équilibre de l’écosystème de notre planète contribuant à la diffusion des virus pathogènes contre lesquels le système immunitaire des humains n’est pas préparé.
Certes on sait que les vaccins ralentissent la propagation des coronavirus mais pendant quelques mois seulement et ne les empêchent pas de se multiplier en mutant selon un mode que l’on ne connait pas encore bien. Le CDC (3) – et d’autres institutions publiques – ont démontré que le SARS-COV2 de la Covid-19 peut être présent dans le corps de personnes vaccinées – sans pour autant se manifester – autant que dans le corps des non vaccinés. Ces personnes asymptomatiques peuvent alors devenir des « super-propagateurs » sans le savoir. C’est pourquoi cette agence fédérale de santé des USA confesse un échec du vaccin à protéger et recommande le retour du port du masque obligatoire même pour les personnes vaccinées …
La nature des virus est de muter pour survivre, d’où l’apparition de variants toujours plus virulents. Les études montrent que le vaccin initial contre le variant delta du virus de la covid-19, majoritaire en 2021, est moins efficace que contre le virus alpha pour lequel il a été élaboré. Ce vaccin qu’on vous a d’abord injecté perdrait son efficacité dans le temps, alors pour contrer l’expansion de chaque virus mutant ou recombinant êtes-vous prêts à subir de plus en plus de nouveaux vaccins spécifiques à chacun d’eux ? et y ajouter des injections de rappel à intervalles rapprochés ? lesquels deviendront indispensables au renouvellement d’un « pass-sanitaire » pour pouvoir circuler librement.
D’autre part, soyons vigilant car un « green pass » international pourrait permettre à une autorité quelconque – officielle ou des hackers – d’accéder aux données personnelles de santé des citoyens comme c’est le cas dans certains pays qui les revendent à des groupes mal intentionnés.
Bien qu’on n’ait jamais mis fin aux épidémies de grippe, on prétend qu’en vaccinant tout le monde nous allons vaincre les coronavirus. Alors devons-nous dire merci aux laboratoires qui produisent ces vaccins et à leurs relais de nous offrir un tel abonnement à vie ?
Pourtant des médecins, lors de débats en direct, reconnaissent que l’immunité contre la covid-19 acquise naturellement est plus efficace que par le vaccin. On pourrait penser qu’avoir été infecté avec la souche originale en 2020 ne protège pas contre les nouveaux variants comme le Beta ou le Delta. « En fait, l’infection offre bien une protection assez efficace » assure le virologue Bruno Lina, directeur du CNR Lyon et membre du Conseil scientifique français.
Nos choix de soins pour notre santé sont souvent déterminés par méconnaissance, ou manque de confiance en la capacité incroyable de notre organisme à s’adapter ou à s’autoguérir en permanence. N’est-il pas mieux de faire davantage d’efforts individuels pour suivre une hygiène de vie saine et des bonnes pratiques qui permettent d’augmenter notre énergie essentielle, notre vitalité, par les moyens naturels sans passer par la case vaccination ?
